IMAGES DE CULTURE
Une autre journée. La dernière à cet hôtel, le Home Inn, près du quartier des ambassades. Je fais des images à SOS International dans la cour intérieure : les trois sorties dont deux ont des guérites et des barrières. Par laquelle est-il passé?
Le témoignage de Laura S. à Paris m’est resté en mémoire; je décide de refaire son parcours le plus exactement en vue de l’illustrer éventuellement. Au bout du canal, du bon côté cette fois, je dois trouver une station de pousse-pousse. J’y arrive et pointe à un conducteur sur une carte la station de métro où s’était terminée la recherche que Laura avait effectuée avec Laïla. Il s'agit plus d'un tire-tire; le conducteur est devant.
Une atmosphère. C’est midi. Les chinois sortent pour dîner. À l'arrivée, un McDonald à proximité, tel que situé dans son dernier courriel.
Je passerai l’après-midi à faire des courses en taxi après avoir rapporté l'équipement à l'hôtel.
Je retourne à la fabrique de soie y faire l’achat de doux souvenirs. J’y prends mon temps et retrouve le guide de la muraille qui évidemment ne me reconnaît pas; nous devons tous nous ressembler, les occidentaux. Comme je cherche encore pour Michèle un chemisier matelassé en coton, il inscrit des indications en chinois dans mon carnet de notes. Aucun chauffeur de taxi n’arrivera à les décoder; Michèle devra se contenter d’un châle en soie.
La traductrice de la veille téléphone en fin de journée pour n’annoncer que j’aurai demain le plan technique de la police.
Je dîne seul en expérimentant des mets nouveaux chaque soir. C’est vrai qu’il s’agit d’une des cuisines les plus raffinées du monde.
En fin de soirée, à la télévision, à 21 h 00, je suis, depuis mon arrivée, une émission genre Star Académie de grands airs d’opéras italiens, allemands et français. Les artistes ne font pas que s'exécuter; ils doivent aussi faire preuve de connaissances historiques. De la culture aux heures de grande écoute!!! De grandes voix chinoises qui me rappellent à quel point le chant est universel et…aussi olympique.
Le témoignage de Laura S. à Paris m’est resté en mémoire; je décide de refaire son parcours le plus exactement en vue de l’illustrer éventuellement. Au bout du canal, du bon côté cette fois, je dois trouver une station de pousse-pousse. J’y arrive et pointe à un conducteur sur une carte la station de métro où s’était terminée la recherche que Laura avait effectuée avec Laïla. Il s'agit plus d'un tire-tire; le conducteur est devant.
Une atmosphère. C’est midi. Les chinois sortent pour dîner. À l'arrivée, un McDonald à proximité, tel que situé dans son dernier courriel.
Je passerai l’après-midi à faire des courses en taxi après avoir rapporté l'équipement à l'hôtel.
Je retourne à la fabrique de soie y faire l’achat de doux souvenirs. J’y prends mon temps et retrouve le guide de la muraille qui évidemment ne me reconnaît pas; nous devons tous nous ressembler, les occidentaux. Comme je cherche encore pour Michèle un chemisier matelassé en coton, il inscrit des indications en chinois dans mon carnet de notes. Aucun chauffeur de taxi n’arrivera à les décoder; Michèle devra se contenter d’un châle en soie.
La traductrice de la veille téléphone en fin de journée pour n’annoncer que j’aurai demain le plan technique de la police.
Je dîne seul en expérimentant des mets nouveaux chaque soir. C’est vrai qu’il s’agit d’une des cuisines les plus raffinées du monde.
En fin de soirée, à la télévision, à 21 h 00, je suis, depuis mon arrivée, une émission genre Star Académie de grands airs d’opéras italiens, allemands et français. Les artistes ne font pas que s'exécuter; ils doivent aussi faire preuve de connaissances historiques. De la culture aux heures de grande écoute!!! De grandes voix chinoises qui me rappellent à quel point le chant est universel et…aussi olympique.
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